Premier stage spéléo-secours en Chine
2 participants
Page 1 sur 1
Premier stage spéléo-secours en Chine
Du 11 au 17 janvier 2012, 8 spéléos membres de l'ONG Blue Sky Rescue, une organisation de plus de 20 000 membres dont la vocation est de se préparer à intervenir en renfort dans les grandes catastrophes, s'est rendue à Fengshan pour ce qui a été le premier stage spéléo-secours en Chine.
J'en place ici un compte rendu, pour mémoire et pour collecter les avis et critiques nécessaires pour faire évoluer cette démarche qui a des chances de devoir se renouveler.
La grotte de Chuanlongyan a offert une environnement de choix pour cet entrainement. A l'abri des intempéries, dans un cadre spacieux, éclairé, gardé et accessible, on peut y mettre en œuvre les techniques dont l'apprentissage est nécessaire pour transporter un blessé à l'aide des techniques de cordes propre au spéléo-secours.
Les deux premières journées se sont limitées à la progression sur corde et aux techniques d'auto-secours telles que dégagement d'équipier vers le haut ou vers le bas sans corde de secours. C'était aussi le temps des réglages techniques, évacuation de longes dangereuses, optimisation des équipements individuels et réglages divers.
Pour beaucoup des stagiaires, les techniques spéléos étaient une acquisition récente. Ce préambule a donc été bien apprécié.
Au troisième jours la civière est entrée en scène et on a commencé à parler de mise en place des secours, d'organisation et de fonctionnement des équipes, de prise en charge d'une victime.
Le site permettant de passer instantanément des explications aux démonstrations, la barrière de la langue a été un obstacle mineur.
Nous avons ensuite mis en place un premier enchainement ne mettant pas en jeu de grandes longueurs : portage suivit d'une montée de 5 m suivie d'une tyrolienne de 15 m et libération par largage de mou sur la tyrolienne. Le circuit a été installé, puis parcouru deux fois en changeant les rôles et en améliorant la technique (notamment en introduisant la technique du balancier pour la montée).
Lors des préparatifs, un des spit avait été mis en place sur une roche sonnant un peu creux… Une bonne occasion d'insister sur les fondamentaux et de faire blêmir nos futurs secouristes lorsque je l'ai mis à bas (j'ai quand même du taper beaucoup, fort et juste pour y arriver).
La pose manuelle des amarrages a aussi été présentée comme un fondement de l'apprentissage. Le perfo n'est intervenu que plus tard dans la formation.
L'atelier suivant était une montée sur coulée stalagmitique.
Plusieurs solutions ont été proposées. Nous en avons mis en œuvre trois.
La première était une simple traction sur palan avec frein de charge. Le bénéfice de l'exercice a été de montrer la nécessité d'anticiper la position des ancrages pour sortir du puits et l'inconfort généré par une traction trop musclée.
Il a été demandé de passer d'une gestion martiale des manœuvre à un mode prenant la victime en compte. L'importance des cordes de sécurité accompagnateurs et porteurs aux abords du puits a été aussi soulignée.
Une faute technique est passé dans les mailles des vérifications : un stagiaire a ajouté une sangle reliant le mousqueton de tête de civière à la poignée de tête. Au final, la traction se faisait surtout sur la poignée et on a eu droit à un impressionnant retournement de civière face en bas (la corde de retenue étant sur la poignée de pieds, l'alignement traction-retenue peut se trouver au-dessous du centre de gravité de la civière) à l'occasion d'une mauvaise manipulation de l'accompagnateur.
La descente de la civière a été effectuée avec le même équipement et a été moins mouvementée.
La seconde technique était une tyrolienne inclinée. La tension sur descendeur stop a été faite après installation de la civière. L'incident technique s'est produit au retour : l'équipe en bas ayant eu l'idée bizarre de remplacer le stop par une poulie-bloqueur de plus mal installée. Cette panne a été utile à l'apprentissage, considérant la situation bloquée en bas, tout le monde a compris la nécessité de pouvoir larguer une tyrolienne par ses deux extrémités. Fort heureusement, les tensions mises en œuvres sont restées modestes et la corde n'a pas subit de dégât.
La troisième technique s'est déroulée sans incident. Il s'agissait de prolonger la tyrolienne a près le sommet du puits. La tête de puits étant remplacée par une déviation de la tyrolienne. Bien qu'elle nécessite plus d'ancrages dans sa préparation, cette technique s'est avérée plus commode à l'usage.
Une journée a été consacrée à l'apprentissage de la topographie, à la demande générale. Pour l'occasion, les instruments de visée ont été simulés par un Iphone pour le compas et un HTC pour le clinomètres, en utilisant le décamètre ruban pour matérialiser la visée. Ainsi, les questions liées au positionnement des visées ont été moins abstraites qu'en utilisant un distoX.
Un dernier atelier a été installé. Il s'agissait, dans des volumes plus importants, de monter la civière en position horizontale sur une quinzaine de mètres puis de la faire descendre sur une tyrolienne inclinée d'une cinquantaine de mètres de longueur. En dehors du temps qu'a pris l'installation des poulies sur la tyrolienne malgré un positionnement quasi idéal, la manœuvre s'est bien déroulée.
Au bilan, transmettre les techniques secours à une équipe chinoise en étant seul et compte tenu de la barrière de la langue n'était pas un petit challenge. Je passais toutes mes soirées le nez plongé dans les documents de référence et sur internet, mais cela ne remplace pas d'autres yeux avec ce qu'il y a derrière. Pourtant, les choses ont pu se dérouler dans des conditions de sécurité satisfaisantes.
Ce qui est certain, c'est que les stagiaires ont à la fois acquis des savoir faire et la conscience pour chacun de l'existence de limites personnelles. Leur volonté est de poursuivre et étendre cet entrainement, ce qui, dans le contexte chinois est une démarche qui mérite vraiment d'être encouragée.
La grotte de Chuanlongyan a tenu ses promesses de site d'entrainement proche de l'idéal. Mon regret est de ne pas avoir vraiment abordé la problématique des portages en traversée de chaos, mais le temps à manqué et la priorité allait aux techniques de corde.
J'en place ici un compte rendu, pour mémoire et pour collecter les avis et critiques nécessaires pour faire évoluer cette démarche qui a des chances de devoir se renouveler.
La grotte de Chuanlongyan a offert une environnement de choix pour cet entrainement. A l'abri des intempéries, dans un cadre spacieux, éclairé, gardé et accessible, on peut y mettre en œuvre les techniques dont l'apprentissage est nécessaire pour transporter un blessé à l'aide des techniques de cordes propre au spéléo-secours.
Les deux premières journées se sont limitées à la progression sur corde et aux techniques d'auto-secours telles que dégagement d'équipier vers le haut ou vers le bas sans corde de secours. C'était aussi le temps des réglages techniques, évacuation de longes dangereuses, optimisation des équipements individuels et réglages divers.
Pour beaucoup des stagiaires, les techniques spéléos étaient une acquisition récente. Ce préambule a donc été bien apprécié.
Au troisième jours la civière est entrée en scène et on a commencé à parler de mise en place des secours, d'organisation et de fonctionnement des équipes, de prise en charge d'une victime.
Le site permettant de passer instantanément des explications aux démonstrations, la barrière de la langue a été un obstacle mineur.
Nous avons ensuite mis en place un premier enchainement ne mettant pas en jeu de grandes longueurs : portage suivit d'une montée de 5 m suivie d'une tyrolienne de 15 m et libération par largage de mou sur la tyrolienne. Le circuit a été installé, puis parcouru deux fois en changeant les rôles et en améliorant la technique (notamment en introduisant la technique du balancier pour la montée).
Lors des préparatifs, un des spit avait été mis en place sur une roche sonnant un peu creux… Une bonne occasion d'insister sur les fondamentaux et de faire blêmir nos futurs secouristes lorsque je l'ai mis à bas (j'ai quand même du taper beaucoup, fort et juste pour y arriver).
La pose manuelle des amarrages a aussi été présentée comme un fondement de l'apprentissage. Le perfo n'est intervenu que plus tard dans la formation.
L'atelier suivant était une montée sur coulée stalagmitique.
Plusieurs solutions ont été proposées. Nous en avons mis en œuvre trois.
La première était une simple traction sur palan avec frein de charge. Le bénéfice de l'exercice a été de montrer la nécessité d'anticiper la position des ancrages pour sortir du puits et l'inconfort généré par une traction trop musclée.
Il a été demandé de passer d'une gestion martiale des manœuvre à un mode prenant la victime en compte. L'importance des cordes de sécurité accompagnateurs et porteurs aux abords du puits a été aussi soulignée.
Une faute technique est passé dans les mailles des vérifications : un stagiaire a ajouté une sangle reliant le mousqueton de tête de civière à la poignée de tête. Au final, la traction se faisait surtout sur la poignée et on a eu droit à un impressionnant retournement de civière face en bas (la corde de retenue étant sur la poignée de pieds, l'alignement traction-retenue peut se trouver au-dessous du centre de gravité de la civière) à l'occasion d'une mauvaise manipulation de l'accompagnateur.
La descente de la civière a été effectuée avec le même équipement et a été moins mouvementée.
La seconde technique était une tyrolienne inclinée. La tension sur descendeur stop a été faite après installation de la civière. L'incident technique s'est produit au retour : l'équipe en bas ayant eu l'idée bizarre de remplacer le stop par une poulie-bloqueur de plus mal installée. Cette panne a été utile à l'apprentissage, considérant la situation bloquée en bas, tout le monde a compris la nécessité de pouvoir larguer une tyrolienne par ses deux extrémités. Fort heureusement, les tensions mises en œuvres sont restées modestes et la corde n'a pas subit de dégât.
La troisième technique s'est déroulée sans incident. Il s'agissait de prolonger la tyrolienne a près le sommet du puits. La tête de puits étant remplacée par une déviation de la tyrolienne. Bien qu'elle nécessite plus d'ancrages dans sa préparation, cette technique s'est avérée plus commode à l'usage.
Une journée a été consacrée à l'apprentissage de la topographie, à la demande générale. Pour l'occasion, les instruments de visée ont été simulés par un Iphone pour le compas et un HTC pour le clinomètres, en utilisant le décamètre ruban pour matérialiser la visée. Ainsi, les questions liées au positionnement des visées ont été moins abstraites qu'en utilisant un distoX.
Un dernier atelier a été installé. Il s'agissait, dans des volumes plus importants, de monter la civière en position horizontale sur une quinzaine de mètres puis de la faire descendre sur une tyrolienne inclinée d'une cinquantaine de mètres de longueur. En dehors du temps qu'a pris l'installation des poulies sur la tyrolienne malgré un positionnement quasi idéal, la manœuvre s'est bien déroulée.
Au bilan, transmettre les techniques secours à une équipe chinoise en étant seul et compte tenu de la barrière de la langue n'était pas un petit challenge. Je passais toutes mes soirées le nez plongé dans les documents de référence et sur internet, mais cela ne remplace pas d'autres yeux avec ce qu'il y a derrière. Pourtant, les choses ont pu se dérouler dans des conditions de sécurité satisfaisantes.
Ce qui est certain, c'est que les stagiaires ont à la fois acquis des savoir faire et la conscience pour chacun de l'existence de limites personnelles. Leur volonté est de poursuivre et étendre cet entrainement, ce qui, dans le contexte chinois est une démarche qui mérite vraiment d'être encouragée.
La grotte de Chuanlongyan a tenu ses promesses de site d'entrainement proche de l'idéal. Mon regret est de ne pas avoir vraiment abordé la problématique des portages en traversée de chaos, mais le temps à manqué et la priorité allait aux techniques de corde.
Dernière édition par Admin le Mer 25 Jan - 7:59, édité 1 fois
En photos
Les stagiaires sont tous membres d'une même ONG : bleue sky rescue
Avant le stage, l'entrainement physique fait partie des activités de ce groupe
Rencontre au coin d'une rue entre stagiaires et un spéléo local, Luo Hong Jie, qui m'a beaucoup aidé pour encadrer le stage.
La grotte servant de cadre au stage est aux portes de la ville, dans le musée du Global Geopark de Leye-Fengshan
Intimidant… mais cette volonté d'afficher une certaine rigueur et discipline a finalement simplifié le fonctionnement du stage… et s'est fort heureusement assoupli très rapidement.
Cette équipe se caractérise par une gestion et une organisation soignée et une approche collective des exercices
Les équipements personnels ne sont pas au top, mais ils sont suffisamment sûrs et fonctionels
Les stagiaires découvrent avec un intérêt envieux l'équipement simple, léger, performant et économique adopté par le club de Fengshan.
La première phase du stage est basique, il s'agit simplement de vérifier l'autonomie et la sécurité de la progression sur corde.
L'exercice de décrochement d'équipier est une des bases à maîtriser. C'est aussi une façon de tester sa maîtrise technique
Le tamponnoir, outil de base (modèle fabriqué par un des stagiaires…)
Au début, tous les ancrages sont posés à la main. Le perforateur électrique sera utilisé ensuite.
Un spit bien planté, mais pas au bon endroit… dépisté lors d'un contrôle des ancrages avant de lancer l'exercice, ce point a finalement été sacrifié pour démontrer l'importance de bien sonder la roche...
La civière fait son entrée dans le stage au troisième jour seulement.
Préparation d'un exercice au tableau blanc
Préparation du premier atelier
Mise en tension de la tyrolienne
Noeud italien et son verrouillage
Installation dans la civière
Portage de civière
Montée en milieu pas trop large
En haut du petit balancier
Transfert entre sommet de balancier et tyrolienne
Départ de la tyrolienne
Progression de la civière sur tyrolienne
Dégagement de la civière en donnant du mou sur la tyrolienne
Ici, la tyrolienne est mise en tension avec la civière installée
Arrivée en haut du puits, la tension de la corde porteuse est suffisante
Portage jusqu'au départ du puits
La civière est installée sur la tyrolienne pour la descente
La civière amorce sa descente sur tyrolienne
Surprise à l'arrivée : on le peut pas larguer de mou sur la tyrolienne.
Faute technique surprise : le descendeur stop avait été remplacé par un mauvais assemblage de poulie et bloqueur sur la tension de la tyrolienne…
Nœud répartiteur de charge. Ce nœud étant mal réalisé sur la photo, comme me l'a fait remarqué un lecteur avisé (merci Christian!), j'ai retouché l'image en ajoutant des dessins tirés de la référence en la matière : le "MANUEL DU SAUVETEUR" édité par le Spéléo Secours Français.
A la demande des stagiaires, la topographie a été mise au programme
Exercice de topographie avec des instruments anachroniques : décamètre pour la longueur, Iphone pour l'azimut et HTC pour la pente… l
Avec un peu plus de verticalité, un transfert balancier/tyrolienne.
Monté de civière en position horizontale (avec un peu trop de mou sur le dispositif)
Avant le stage, l'entrainement physique fait partie des activités de ce groupe
Rencontre au coin d'une rue entre stagiaires et un spéléo local, Luo Hong Jie, qui m'a beaucoup aidé pour encadrer le stage.
La grotte servant de cadre au stage est aux portes de la ville, dans le musée du Global Geopark de Leye-Fengshan
Intimidant… mais cette volonté d'afficher une certaine rigueur et discipline a finalement simplifié le fonctionnement du stage… et s'est fort heureusement assoupli très rapidement.
Cette équipe se caractérise par une gestion et une organisation soignée et une approche collective des exercices
Les équipements personnels ne sont pas au top, mais ils sont suffisamment sûrs et fonctionels
Les stagiaires découvrent avec un intérêt envieux l'équipement simple, léger, performant et économique adopté par le club de Fengshan.
La première phase du stage est basique, il s'agit simplement de vérifier l'autonomie et la sécurité de la progression sur corde.
L'exercice de décrochement d'équipier est une des bases à maîtriser. C'est aussi une façon de tester sa maîtrise technique
Le tamponnoir, outil de base (modèle fabriqué par un des stagiaires…)
Au début, tous les ancrages sont posés à la main. Le perforateur électrique sera utilisé ensuite.
Un spit bien planté, mais pas au bon endroit… dépisté lors d'un contrôle des ancrages avant de lancer l'exercice, ce point a finalement été sacrifié pour démontrer l'importance de bien sonder la roche...
La civière fait son entrée dans le stage au troisième jour seulement.
Préparation d'un exercice au tableau blanc
Préparation du premier atelier
Mise en tension de la tyrolienne
Noeud italien et son verrouillage
Installation dans la civière
Portage de civière
Montée en milieu pas trop large
En haut du petit balancier
Transfert entre sommet de balancier et tyrolienne
Départ de la tyrolienne
Progression de la civière sur tyrolienne
Dégagement de la civière en donnant du mou sur la tyrolienne
Ici, la tyrolienne est mise en tension avec la civière installée
Arrivée en haut du puits, la tension de la corde porteuse est suffisante
Portage jusqu'au départ du puits
La civière est installée sur la tyrolienne pour la descente
La civière amorce sa descente sur tyrolienne
Surprise à l'arrivée : on le peut pas larguer de mou sur la tyrolienne.
Faute technique surprise : le descendeur stop avait été remplacé par un mauvais assemblage de poulie et bloqueur sur la tension de la tyrolienne…
Nœud répartiteur de charge. Ce nœud étant mal réalisé sur la photo, comme me l'a fait remarqué un lecteur avisé (merci Christian!), j'ai retouché l'image en ajoutant des dessins tirés de la référence en la matière : le "MANUEL DU SAUVETEUR" édité par le Spéléo Secours Français.
A la demande des stagiaires, la topographie a été mise au programme
Exercice de topographie avec des instruments anachroniques : décamètre pour la longueur, Iphone pour l'azimut et HTC pour la pente… l
Avec un peu plus de verticalité, un transfert balancier/tyrolienne.
Monté de civière en position horizontale (avec un peu trop de mou sur le dispositif)
Dernière édition par Admin le Mer 25 Jan - 8:48, édité 2 fois
Petit lexique
Nous avons établi un petit lexique, surtout dans l'objectif de fixer certains termes pour les prochains stages s'il y en a. En effet, il y a un grand nombre de solutions pour traduire mais les actions coordonnées nécessitent un vocabulaire commun.
Pour la prononciation, il faut apprendre des rudiments de chinois.
------------------------------
CORDES
corde de progression
主绳 zhǔshéng
corde de traction
牵引绳 qiānyǐnshéng
corde de retenue
限制绳 xiànzhìshéng
corde d' assurance
保护绳 bǎohùshéng
corde de tyrolienne
溜索绳 liūsuǒshéng
------------------------------
NOEUDS ET MATERIEL
civière
担架 dānjià
mousqueton
锁扣 suǒkòu
descendeur
下降器 xiàjiàngqì
bloqueur
上升器 shàngshēngqì
croll
胸上 xiōngshàng
palan
滑轮组 huálúnzǔ
poulie mobile
移动滑轮 yídòng huálún
Noeud italien
意大利半扣 Yìdàlì bànkòu
clef
止结 zhǐjié
noeud de vache
单结 dānjié
noeud de cabestan
双套结 shuāngtàojié
noeud de pêcheur simple
水结 shuǐjié
noeud de huit double
shuāngbājié
oreilles de lapin
兔子结 tùzǐjié
NRC
三角站 sānjiǎozhàn
------------------------------
ACTIONS
Prêt pour lever ?
预备起 yùbèiqǐ
Prêt pour poser ?
预备放 yùbèifàng
lever
起 qǐ
poser
放 fàng
libérer
解开 jiěkāi
traction
拉 lā
mou
放 fàng
conversion
转换 zhuǎnhuàn
qui est à la manoeuvre ?
谁指挥 shéizhǐhuī ?
------------------------------
Pour la prononciation, il faut apprendre des rudiments de chinois.
------------------------------
CORDES
corde de progression
主绳 zhǔshéng
corde de traction
牵引绳 qiānyǐnshéng
corde de retenue
限制绳 xiànzhìshéng
corde d' assurance
保护绳 bǎohùshéng
corde de tyrolienne
溜索绳 liūsuǒshéng
------------------------------
NOEUDS ET MATERIEL
civière
担架 dānjià
mousqueton
锁扣 suǒkòu
descendeur
下降器 xiàjiàngqì
bloqueur
上升器 shàngshēngqì
croll
胸上 xiōngshàng
palan
滑轮组 huálúnzǔ
poulie mobile
移动滑轮 yídòng huálún
Noeud italien
意大利半扣 Yìdàlì bànkòu
clef
止结 zhǐjié
noeud de vache
单结 dānjié
noeud de cabestan
双套结 shuāngtàojié
noeud de pêcheur simple
水结 shuǐjié
noeud de huit double
shuāngbājié
oreilles de lapin
兔子结 tùzǐjié
NRC
三角站 sānjiǎozhàn
------------------------------
ACTIONS
Prêt pour lever ?
预备起 yùbèiqǐ
Prêt pour poser ?
预备放 yùbèifàng
lever
起 qǐ
poser
放 fàng
libérer
解开 jiěkāi
traction
拉 lā
mou
放 fàng
conversion
转换 zhuǎnhuàn
qui est à la manoeuvre ?
谁指挥 shéizhǐhuī ?
------------------------------
Re: Premier stage spéléo-secours en Chine
哈哈,Jear辛苦了!~
phoix- Messages : 1
Date d'inscription : 03/08/2012
Sujets similaires
» Epicentre... Le sauvetage de l'hélicoptère de Yingxiu
» Une opération de spéléo-secours dans le Guizhou (5/2/2009)
» Plongée spéléo en Chine à Fengshan (Guangxi)
» Octobre, fête nationale en Chine, animation camping
» Permis de conduire en Chine
» Une opération de spéléo-secours dans le Guizhou (5/2/2009)
» Plongée spéléo en Chine à Fengshan (Guangxi)
» Octobre, fête nationale en Chine, animation camping
» Permis de conduire en Chine
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|